William Cowper: sa correspondance et ses poésiesSandoz & Fischbacher, 1874 - 437 páginas |
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... poésie . Mais Cowper n'est pas seulement un poète , c'est encore un des meilleurs épistoliers de son pays , et qui a eu cette singulière fortune , que ses lettres , les plus familières et les plus simples qui furent jamais écrites , ont ...
... poésie . Mais Cowper n'est pas seulement un poète , c'est encore un des meilleurs épistoliers de son pays , et qui a eu cette singulière fortune , que ses lettres , les plus familières et les plus simples qui furent jamais écrites , ont ...
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... poésie de M. Newton qui , fort de ses bonnes intentions et sans redouter le danger du voisinage , se bornait à mettre le dogme en rimes . La soixante - huitième hymne \ n'était pas terminée que Cowper était redevenu fou . On a dit , et ...
... poésie de M. Newton qui , fort de ses bonnes intentions et sans redouter le danger du voisinage , se bornait à mettre le dogme en rimes . La soixante - huitième hymne \ n'était pas terminée que Cowper était redevenu fou . On a dit , et ...
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... poésie , composant des vers détachés où se reflétait sa tristesse . On en a conservé deux qu'il avait aussi traduits en latin . - « Mon amour est tué , et tué par mon crime ! Ah ! sous l'ombre de quelles ailes reposerai - je désormais ...
... poésie , composant des vers détachés où se reflétait sa tristesse . On en a conservé deux qu'il avait aussi traduits en latin . - « Mon amour est tué , et tué par mon crime ! Ah ! sous l'ombre de quelles ailes reposerai - je désormais ...
Página 70
... poésie , sont devenus im- mortels . Enfin , deux ans après avoir quitté la mai- son de M. Newton , où il avait passé de longs mois , il rompit le silence et reprit goût à la correspon- dance . Ses premières lettres furent pour Hill ...
... poésie , sont devenus im- mortels . Enfin , deux ans après avoir quitté la mai- son de M. Newton , où il avait passé de longs mois , il rompit le silence et reprit goût à la correspon- dance . Ses premières lettres furent pour Hill ...
Página 97
... poésie et l'éclairent d'un jour particulier . Cette poésie éclata tout d'un coup , comme une fleur tardive qui s'épanouit en un soir . C'est à Mme Unwin que l'on doit l'heureuse idée d'avoir engagé son ami à tenter un plus grand effort ...
... poésie et l'éclairent d'un jour particulier . Cette poésie éclata tout d'un coup , comme une fleur tardive qui s'épanouit en un soir . C'est à Mme Unwin que l'on doit l'heureuse idée d'avoir engagé son ami à tenter un plus grand effort ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 247 - He looks abroad into the varied field Of nature, and, though poor perhaps, compared With those whose mansions glitter in his sight, Calls the delightful scenery all his own. His are the mountains, and the valleys his, And the resplendent rivers. His to enjoy With a propriety that none can feel, But who, with filial confidence inspired, Can lift to heaven an unpresumptuous eye, And smiling say — " My Father made them all 1
Página 167 - Said Gilpin — So am I ! But yet his horse was not a whit Inclined to tarry there ; For why? — his owner had a house Full ten miles off, at Ware. So like an arrow swift he flew, Shot by an archer strong ; So did he fly — which brings me to The middle of my song. Away went Gilpin out of breath, And sore against his will, Till at his friend the calender's His horse at last stood still.
Página 5 - Say, wast thou conscious of the tears I shed ? Hover'd thy spirit o'er thy sorrowing son, Wretch even then, life's journey just begun? Perhaps thou gav'st me, though unfelt, a kiss, Perhaps a tear, if souls can weep in bliss — Ah, that maternal smile ! it answers — Yes.
Página 172 - But not performing what he meant, And gladly would have done, The frighted steed he frighted more, And made him faster run. Away went Gilpin, and away Went post-boy at his heels, The post-boy's horse right glad to miss The lumbering of the wheels.
Página 209 - As human nature's broadest, foulest blot, Chains him, and tasks him, and exacts his sweat With stripes, that mercy, with a bleeding heart, Weeps when she sees inflicted on a beast. Then what is man ? And what man, seeing this, And having human feelings, does not blush And hang his head, to think himself a man...
Página 160 - For saddletree scarce reached had he, His journey to begin, When, turning round his head, he saw Three customers come in. So down he came ; for loss of time, Although it grieved him sore, Yet loss of pence, full well he knew, Would trouble him much more.
Página 159 - He soon replied, I do admire Of womankind but one, And you are she, my dearest dear, Therefore it shall be done. I am a linendraper bold, As all the world doth know, And my good friend the calender Will lend his horse to go.
Página 165 - Twas wonderful to view, How in a trice the turnpike men Their gates wide open threw.
Página 215 - Nor less composure' waits upon the roar Of distant floods, or on the softer voice Of neighb'ring fountain, or of rills that slip Through the cleft rock, and, chiming as they fall Upon loose pebbles, lose themselves at length In matted grass, that with a, livelier green Betrays the secret of their silent course.
Página 210 - Slaves cannot breathe in England ; if their lungs Receive our air, that moment they are free ; They touch our country, and their shackles fall.