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New York, Halifax, Penobscot, Forts Howe and Hughes.

Military letters and other papers, British and Foreign.

Secret Intelligence.

Rebel Prisoners and others.

Provincial corps and Loyalists.

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46, 48

48 to 52

54 to 60

Letters from Secretaries of State, Treasury &c., on Civil Mat

ters.

Ministerial papers.

B. 228.

INVENTORIES OF PAPERS RElating to Canada.

1778-1784.

B.M, 21,888

This volume contains a very full catalogue of the papers collected by Haldimand, with note of where some were to be found; and how others had been disposed of, &c. The lists fill 249 pages.

MEMORANDUM Books of General Haldimand.

B. 229.

1756-1778.

B.M, 21,889

A collection of rough memoranda on a great variety of subjects. It is not possible to calendar the volume which contains many important facts, mixed with the most trivial affairs. The Memoranda fill 114 pages. On the last are rules for his conduct, apparently at the time of entering on office as Governor of Quebec, the last of which may be given. The originals are in French. "To be always polite and obliging but also to be always watchful." "To ask time to consider things of any importance, but also to make it an inviolable law to do whatever has been promised." "Not to become heated in conversation, rather to leave the room under any pretext, as was the case with a Bishop, who prayed in order to give time for his blood to cool; to return immediately, to listen with patience and take time for deliberation." "To favour commerce, and distinguish the merchants who deserve it." "To have the respect for the officers which is due them, to associate with them at table and in parties with the Canadians, and to require from them good conduct, and the regulation of their expenses." The short jotting of his transactions will enable his course to be traced from the time he left the command at Boston till he came to Quebec in 1778.

PRIVATE DIARY OF GEN. HALDIMAND.

JOURNAL INTIME DU GÉN. HALDIMAND.

B. 230 à B. 232.

B. M., 21,890 à B. M., 21,892.

(Le journal forme trois volumes. Les entrées y sont faites d'une manière irrégulière; nous les avons mise ici dans leur ordre chronologique, bien que quelquesunes des dates soient douteuses.)

MEMORANDUM POUR L'ANNÉE 1796.

1786. 1re janv. Mon neveu Anthoine a passé ches moy et ma apporté mon conte courant par lequel, Il me redoit £50-15-3. Il ma remis en meme temps une reconnois. sance, des fonds que j'ay mis entre ses mains avec un memorandum de ce qu'ils mont raporte jusqua ce jour.

Donne en etrenne a mes Domestiques à Tuckfield 5 guinées.

à chacun de mes autres Domestiques chaque

à Fred.

à la menagere 1 "
g.

Visitté le matin le Baron d'Alvensleben, Sr John Dick, le Genl Robertson. Le soir Lady York, Mrs Carpenter, Mrs Morisson, revenu ches moy à 11 heures.

Le 20

Madame Prevost arriva ches moy et ma entretenu au sujet de son fils James, qu'elle souhaitteroit d'envoyer à N. found Land au lieu de la Jamaique.

Reçu la visitte du chevallier York auquel j'ay montré les ordres laissés en Canada, avec les copies des Lettres ecrittes au ministre. Il a lu celles que j'écrivis au sujet de Cuthbert, Du Calvet etc.-dont il a paru sattisfait. Il m'a dit que si le ministere me continuoit les appointements de L. G. que je devois etre très content, et rester tranquille jusques à ce qu'on me demands pr servir.

Reçu les Visittes du GI Christie L. G Moultry Major Gen. Sr Fr. Smith, Mrs Amiel. Le G. Durnford, ma conseillé d'envoyer un pouvoir d'Atorney à Mr Hodge à Pensacolle pr disposer de mes terres dans la floride Occidentale. Il croit que Levington a vendu à Mr Ward, la moitié d'une plantation de Made Fairchild, de 2000 arpens. Il lui en reste encore une autre proche des marches.

Il n'est pas doutter que Levington ou son agent, n'ayent reçu les rentes de ma maison de Pensacole, et ils devroient me payer l'interet de cet argent.

Le 30

passé ches Lord Amherst qui étoit arrivé en Famille la veille.
passé ches le Geul Carpenter, Grant et le Major Gunn.

Le 40

Le Perruquier a Commence à maccomoder. J'ay été au Lévé.

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fait visitte à mon neveux, le G1 Budé diné ches moy, Il me conseilloit beaucoup de ne plus penser à retourner en Amérique s'est passé la soirée ches moy.

Le 70

fait visitte à L. et Ld Sydney, L. et Ld Amherst, du Genl et Mde Robertson, Moultry, Trayon, diné ches moy avec le Major Peto qui ma dit que le Roy avoit refusé l'arengemt proposé par Lernoux, qui sera obligé de vendre.

PRIVATE DIARY OF GEN. HALDIMAND.

B. 230 to B. 232.

B. M., 21,890 to B. M., 21,892.

(The diary is contained in the three volumes but the entries are made irregularly. They have been placed as far as possible chronologically, but a few of them are of doubtful date.)

MEMORANDA FOR THE YEAR 1786.
January.

1. My nephew Anthony called and brought my account current, by which he still owes me £50 158. 3d. At the same time he handed me an acknowledgment for the funds I have placed in his hands, with a memorandum of what they have yielded up till to-day.

Gave my servants a new year's gift. To Tuckfield 5 guineas; to Fred. the same; to the housekeeper, 1 guinea; to each of my other servants, half a guinea.

In the morning visited Baron d'Alvensleben, Sir John Dick, General Robertson. In the evening, Lady York, Mrs Carpenter, Mrs. Morison; returned home at 11.

2. Madame Prevost arrived at my house and entertained me on the subject of her son James, whom she would like to send to Newfoundland instead of to Jamaica.

Had a visit from Sir Joseph York, to whom I showed the orders left in Canada, with copies of the letters written to the Minister. He read those I had written respecting Cuthbert, du Calvet, &c, with which he seemed satisfied. He told me that if the Ministry continued my allowances as Lieutenant-General I should be well satisfied, and rest easy until I should be asked to serve.

Had visits from General Christie, Lieutenant-General Moultry, Major-General Sir F. Smith, Mrs. Amiel. General Durnford advised me to send a power of attorney to Mr. Hodge, at Pensacola, to dispose of my lands in Western Florida. He believes that Levington has sold to Mr. Ward half of a plantation of 2,000 arpents belonging to Mrs. Fairchild. There is still another belonging to her near a market.

There is no doubt that Levington, or his agent, has received the rents of my house in Pensacola, and they should pay me interest for the money.

3. Called on Lord Amherst, who had arrived with his family the previous evening Called on General Carpenter, Grant and Major Gunn.

4. The hairdresser has begun to fit me. Was at the levée.

5. Was at court. Dined at bome.

6. Visited my nephew.

General Budé dined with me. He strongly advised me not to return to America. He spent the evening with me.

7. Visited Lord and Lady Sydney, Lord and Lady Amherst, General and Mrs. Robertson, Moultry, Tryon. Dined at home with Major Pato, who told me that the King had refused the arrangement proposed by Lernoult, who will be obliged to sell.

Le 80 Dim.

Eté voir mon neveux qui se trouve mieux-diné ches Lady Holdernesse, avec Messrs Dayrolles, Genl Gordon Budé Lord Dambier et son frere, passé la soirée ches moy.

Le ge

Changé de chambre à coucher et fait transporter mon bureau dans la chambre en haut. Employé toute la matinée avec le Major Mathews et Tuckfield à verifier mon conte des Depenses qu'il a faitte pour moy. Jusqu'au 31 Xbre dernier & J'ay ouvert une autre conte pr L'année Courante.

Le 100 Mardy.

Visitté M. Dayrolles, & le Baron d'Alvensleben que j'ay trouvé ches eux-le premier me dit que L'Envoyé de Russie Lui avoit fait voir il y a quelque temps Le Traitté que L'Imperatrice de Russie avoit proposé de faire avec Langleterre, souhaittant de faire un traité de Commerce & d'alliance, offensive, & diffensive que L'Angleterre avoit refusé;-LeBaron apprès m'avoir parle sur l'Etat des Trouppes Hanoveriens qui servent dans les Indes me dit combien on avoit été content de Leur Conduitte, qu'on avoit resollu d'augmenter chaque Batt. (qui ne sont que deux de 100 homes par compagnie) de deux compagnies, que le Roi avoit accordé à cette Levée dans ses etats d'Allemagne & qu'on y travailloient actuellement. Ces Trouppes Allemandes ont servy avec une approbation generale.

Nous avons eu une longue Conversation sur l'Etat des affaires telles qu'elles nous paroissent a present, d'où il nous a parû que nous sommes et serons pour longtemps les Duppes des Français.

Eté ches M. Rigaud, qui m'ayant thémoigné l'envie qu'il avoit de faire le portrait de Joseph Braun. Je les ay invitté à diner chez moy. Nous avons eu une longue ou Joseph a parû connoitre les Interets de sa nation, & etre tres raisonnable, passé la soirée ches moy.

Le 11e Mercredy.

Joseph a dejeuné ches moy avec Claus. Il ma fait voir la copie du discours qu'il a fait, à M. Ld Sydney, que j'ay trouvée faible, bas, et beaucoup audessous de ce que j'attendois de Lui. Je ne veux plus me meler de ces gens la. Diné chez M. Core, avec M. Barner, M. M. le Docteur, passé la soirée ches Mde Robertson, ou il n'y avoit que des vieilles femmes, Mr Amherst & my lady y sont venu. Gagné deux Guinées, revenu ches moy à 10 heure.

Le 12.

Eté ches Mr Rigaud revenû diner ches moy, ou j'ay passé la soirée.

Le 13.

fait visitte au Baron Alvansleben avec lequel j'ay cu une longue conver. sur les affaires du temps Il se figure que les affaires des Indes Orientales s'arengeront plus facillemt qu'on ne pense. Il me dit que le Roi donneroit le Park de Grinich au Prince Edward; comme il est marin.

Le Baron m'asseura que le Roi se proposoit d'aller à Hannovre avec la Réne qu'il yroit debarquer à Stadé, et qu'il y avoit deja des ordres donne en consequence; le Gen! Bude ne croit pas que le Roy & encore moins la Réne entreprene ce voyage, en tout cas il ne souhaitte pas d'en être.

14. Samedy.

fait visitte à Bude, reçu la visitte du cap. Thompson, mon ship's mate; et celle du jage Owen. La nége m'empechant de monter à cheval revenu ches moy où j'ay passé la soirée.

15. Dimanche.

Mon neveux se trouvant toujours incomodé de la Poitrine, vint me voir en allant à Heigh Gate, ou Il se propose de coucher pendant quelque temps. Il me remit une

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