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d'avis qu'il faut leurs intenter un procès directement sans qu'il soit necessaire d'y faire intervenir Lord Amherst, et il me paroit qu'il a raison. Il y avoit dans une autre chambre un Comitte pr fournir une placet au ministre concernant les Terres que quelques uns des sujets du Roy possèdent en Amérique, Il etoit composé de l'archeveque de Londres, Lord Amherst, le G1 Robertson, Christie, Reed, James de Lancy, un M. Galloway, Gambell, du Col. Jessop, et quelques autres personnes. On voulut absolument que mon nom fut inséré dans le mémoire.

Dinné au Clob qui etoit nombre et où tout se passa en fort bon ordre [la dépense] ne fut que 15 sh. ce que je n'avais jamais vu auparavant. revenu chés moy examiné les paperasses.

Mercredy 28.

Je regas une lettre de M. George Harding concernant les appels qui pourroient venir de Quebec, & je pris cette occasion de le retenir pour moi au cas qu'il fut nécessaire (& apprès avoir consulté M. Corre).

Davison qui me fit visitte me dit qu'il s'aperçoit qu'on etoit pas fort content de Lord D. Dinné & passé la soirée chés moy.

Jeudy 29.

Promené à cheval & fait quelques visittes chés Budé, le Baron Alvensleben ou je trouvay Pauly & Rainsfort, diné et passé la soirée chés moy.

Passé la soirée chés moy.

Vendredy 30.

Samedy 31,

Promené au Parck avec Lord Amherst à qui je dis que Madame Prevost s'impstientoit de voir que l'affaire que son Mary avoit avec les agents au sujet de l'Habillement ne finissait point. Il ne me répondit rien et entama immédiatement un antre discours. Il y a quelque chose dans sa conduitte avec les agents qui me paroît inconcevable.

Christi & le Col. Kemble furent chés moy au sujet des contes du 2e Batt. Ils doivent s'assembler Lundy chés les agents & je dois faire en sorte que le Cap. Shaw s'y trouve.

J'ay pris congé de Madame Dunn, ou j'ai trouvé le jeune Lanaudière. Il me dit que son frère ainé étoit encorre à Paris quoy qu'il eut promis de passer avec Dann en Canada. M. Dunn m'apporta la copie de la réponse qu'il avoit faitte aux remarques des controlleurs des Contes, & me dit que si on faisait quelqu'autres questions le Cape Twiss pourroit les éclaircir.

L'admiral Barrington, Pringle, le Baron, Budé & Cullen dinèrent chés moy, passé la soirée chés moy.

Dimanche, le 1e juin 87.

J'ay reçu une lettre fort polie de M. George Harding, qui accepte mon General Retainer & me dit qu'il faut que ça se fasse par le moyen de mon Procureur. J'ay ecrit un billet à Mad. Corre en conséquence. Il m'en coutera 5 guinées.

Lundy !e

Le Lt Colonel Cambel & le Capt Show [Shiw] ont passé chés moy pr me dire qu'ils ont été chés les agents avec le Col. Christie pr examiner les prétentions envers le feu General Prevost, & nous sommes convenus qu'il convenoit de les remettre à la dessision de quelques arbitres J'ay peu m'appercevoir que le General Kemble ni Show ne sont pas au fet de la chose, & que Ogilvie & Christie s'entendent parfaittement que Prevost sera la duppe.

& J'ay fait quelque visittes. Lord Amherst est venu chés moy, & j'ay pris occaBion do lui parler au sujet des prétentions de Prevost pr l'habillemt qui a été perdu. Je lui ai dit tout uniment que cette affaire paraissoit injuste à toutes les personnes qui en entendoient parler que les agents so conduisoient fort mal & ne méritoient pas sa protection, que si l'affaire me regardoient je demanderois de changer d'agent, que les instructions du roy étoient que nous jouissions de tous les revenus du Batt. & que les agents devoient nous traitter comme les agents de tout autre Regimt qu'ils n'en agissoient pas dans le cas comme d'honetes gens. Il me parut surpris & me dit qu'ils avoient tort. Je lui repondis que je Le voyois pas d'autre moyen de finir la

He is of opinion that a suit should be entered directly without the necessity of making Lord Amherst intervene, and it seems to me that he is right. There was inanother room a committee to prepare a petition concerning lands in America belonging to the King's subjects. It was composed of the Archbishop of London, Lord Amherst, General Robertson, Christie, Reed, James de Lancy, a Mr. Galloway, Gam-ble, Colonel Jessup and some other persons. There was a positive wish that my name should be inserted in the memorial.

Dined at the club, which was well attended and everything passed off well; [the cost was only fifteen shillings, which I never saw before. Returned home and examined old papers.

28. Wednesday. Received a letter from Mr. George Harding concerning the appeals which might come from Quebec, and I took that opportunity of retaining him in my case, should it be necessary (and after having consulted Mr. Coore.)

Davison who paid me a visit told me that he noticed people were not very well satisfied with Lord D. [Dorchester.] Diued and spent the evening at home.

29. Thursday. R.de and paid a few visits to Budé, Baron Alvensleben, where I found Pauly [Paoli] and Rainsford. Dined and spent the evening at hɔme.

30. Friday. Spent the evening at home.

31. Saturday. Walked in the park with Lord Amherst, to whom I said that Mrs. Prevost was impatient that the business of her husband with the agents respecting the clothing was not settled. He answered nothing and began immediately on another subject. There is something inconceivable to me in his conduct with the agents.

Christie and Colonel Kemble were with me respecting the accounts of the second battalion. They are to meet on Monday at the agents and I am to arrange that Captain Shaw shall be there.

I took leave of Mrs. Dunn, and found young Lanaudière there. He said his elder brother was still in Paris, although he had promised to go with Dunn to Canada. Mr. Dann brought me a copy of the answer he had made to the remarks of the comptrollers of accounts, and said that if they put any other question Captain Twiss could enlighten them.

Admiral Barrington, Pringle, the Baron Budé and Cullen dined with me. Spent the evening at home

1st June 1787, Sunday. Received a very polite letter from Mr. George Harding accepting my general retainer and saying that this should be done through my attorney. Wrote a note to Mrs. Coore in consequence. It will cost me five guineas and a half.

2. Monday. Lieutenant Colonel Cambel and Captain Shaw called to tell me that they were at the agents with Colonel Christie to examine the claims against the late General Prevost and we agreed that it would be proper to submit them to the decision of arbitrators. I could see that General Cambel and Shaw are not perfectly acquainted with the matter, which Ogilvie and Christie fully understand and that Prevost will be the victim.

Paid a few visits. Lord Amberst called, and I took the opportunity of speaking to him respecting Prevost's claims for the clothing that had been lost. I told him plainly that this affair appeared unjust to all who had heard it spoken of, that the agents were behaving very badly and did not deserve his protection, that if the affair concerned me I would demand a change of agents, that the King's instructions were that we should enjoy all the revenues of the battalion and that the agents should treat us like the agents of every other regiment, that they did not act in this case liko honest men. He seemed surprised and told me they were wrong. I answered that I saw no other means of erding the affair than to ask for a board of

chose que de demander un bord d'efficiers generaux, que Mad. Prevost comme Tutrice ne pourroit pas sacrifier le Bien de ses enfans; que d'ailleurs Prévost ayant été aussi mal récompensé de ses services ses heritiers avoint droit au moins de demander justice, enfin je lui parlay fort franchement. Il me paroit que mes raisons faisoient impression sur lui, nous verrons ce qu'il fera.

Diné chés l'Admiral Digby, sa femme qui étoit une Demoiselle Ellice n'est pas jolie mais est aimable & fort unie. Le Col. Drammord autrefois aide de camp du chr Clinton étoit de la partie & nous eumes une longue conversation sur les evenemens de la dernière guerro. 11 trouve l'ouvrage du Col. Tarleton très mal ce n'est qu'une compilation de Gazette, & il le blame beaucoup d'avoir exposé des lettres ou billets particulier que Lord Cornwallis lui avoit écrit en confidence, &c.

Il me dit la conversation qu'il avoit eue avec le Roy au sujet de la Guerre d'Amérique lorsqu'il revint dans ce pays. Il croyoit que les habitants des derrièrs de la Virginia qui la plupart etoient Ecossois etoient les seuls qui lui fussent attaché, Il blamoit la conduitte de la guerre me dit qu'il étoit brouillé avec Clinton mais cependant quand ils se rencontrent ils se saluoient.

Mesers Stopfort, le Cap:

diner.

Mr Leg & deux autres Marins étoient du

J'allay de la au concert da Baron qui étoit fort nombre. L'Eveque d'Oxford me presenta à Madame & Lady Thompson me demanda depuis quant j'étois

dans ce Pays. Il faut que je lui fasse visitte.

Le jeune D'Airolles me paroit bien étourdie. revenu à 10 h. §.

Mardy 3,

Le Capt Shaw a diné chés moy & me dit qu'il avoit parlé au Gl Robertson concernant les Contes de Prevost avec Christie, et qu'il se proposoit de lui en donner un détail par écrit. C'est un parleur éternel. Il me fit plusieurs details sur la conduitte que le Chevalier Archibald Cambell auroit tenue vis à vis de Prevost dans l'expedition de la Georgie, qui font peu d'honneur à Cambell-mais ayant plus d'amis et d'activité que Prevost il s'est fait passer pour un grand homme & Prevost a été oublié.

Cambell a mal debutté en arrivant aux Indes. Il a employé une dizaine de ses compatriottes d'abord en arrivant contre les resollutions de la Compagnie & les ordres qu'il avoit reça. C'est un officier qui a des Tallents mais encorre plus d'orgueil & de presomption. Passé la soirée chés Madame Morisson avec le Baron Alvensleben.

Le pauvre General Gage mourut hier après avoir langui longtemps. Le chev. Wuilliam Green ne me paroit pas content d'etre en chef dans le Génie. Il auroit préféré de retourner à Gibraltar, où il avoit le double de paye qu'il a aujourd'huy. Il trouve le Duc minutieux & difficille à contenter.

Mercredy 4e

Je fus au levée qui a été nombreu. Le Roy me demanda où j'irois le Printemps je lui dis que j'irois en Suisse dans le millieu de May où de juin, (sic) que j'yrois peuthetre de la en Italie où j'avois été l'an 49. Il me dit que si j'allois jusques à Naples je devais prendre garde de n'en pas rapporter la Maladie. Je lui dis que l'ayant échappé dans ma jeunesse je courus peu de danger à present, &c.

Fait visitte à Madame & L'admiral Digby, au Gl Trayor & Madame & Madle Leland, & Sir Charles Thompson, & à Madame Christie où je trouvay le Col: qui me parla de son beaufils le Capt Piquet qui se proposa de retourner en Canada pr s'y établir avec sa famille. J'allay le soir chés le G1 Carpenter & le GI Robertson que je ne trouvay pas.

Mercredy, 5. [Jeudi]

J'eus la visitte de Sr James Napier, & de l'Eveque d'Oxfort qui mo parait fort sosiable & aimable home. J'allay à la Cour qui ne fut pas fort nombreuse. LaRene me parla longtemps & avec beaucoup de bonté. Elle Loua beaucoup les deux demoiselles Suisses qu'elle avoit eu auprès des Princesses.

Je trouvay le chev. Yong qui me dit qu'il y avoit longtemps que nous ne ncus etions rencontrés. Il m'apprit la destination des regimts de dragons. Je lui dis que

general officers; that Mrs. Prevost as tutrix could not sacrifice the property of her children, that, besides, Prevost, being so ill rewarded for his services, his heirs had at least the right to ask for justice; in fact I spoke to him very freely. It seemed to me that my reasons made an impression on him. We will see what he will do.

Dined with Admiral Digby. His wife, who was a Miss Ellice, is not pretty but is amiable and even tempered. Colonel Drummond, formerly aide-de-camp to Sir Henry Clinton, was of the party and we had a long conversation on the events of the last war. He thought Color el Tarleton's work very ill-written; it is only a newspaper compilation, and he blames him very much for publishing private letters and notes which Lord Cornwallis wrote him in confidence, &c.

He told me the conversation he had with the King respecting the American war, when he returned to this country. He believed that the inhabitants of the back settlements of Virginia, who were mostly Scotchmen, were the only ones attached to him. He blamed the conduct of the war, told me he was at variance with Clinton but that they always bowed to each other when they met.

Messrs. Stopford, Captain

were of the party.

Mr. Legg, and two other naval men

From there I went to the Baron's concert, which was very full. The Bishop of Oxford presented me to Mrs. , and Lady Thompson asked me how

long I had been in this country. I must pay her a visit.

Young Dayrolles seemed very awkward. Home at half past ten.

3. Tuesday. Captain Shaw dined with me and told me that he had spoken to General Robertson about Prevost's accounts with Christie, and proposed to him to give a written detail of them. He is an eternal talker. He gave me several details of the conduct of Sir Archibald Campbell towards Prevost in the expedition to Georgis, which did Campbell little honour, but that having more friends and activity than Prevost, he rassed for a great man and Prevost has been forgotton.

Campbell has made a bad beginning on his arrival in India. He employed half a score of his countrymen on his first arrival, against the resolutions of the company and the orders he had received. He is an officer of talent, but with even more pride and presumption. Spent the evening at Mrs. Morrison's with the Baron Alven.

sleben.

Poor General Gage died yesterday after having lingered for a long time. Sir William Green does not appear satisfied to be at the head of the engineers. He would have preferred to return to Gibraltar, where he had double the pay he has now. He finds the Duke [of Richmond] particular in trifles and difficult to satisfy.

4. Wednesday. Was at the levée, which was numerously attended; the King asked me where I was going in spring. I told him that I would go to Switzerland by the middle of May or June (sic); that I might perhaps go to Italy where I had been in '49. He told me that should I go to Naples I must take care not to bring back the plague. I told him that having escaped in my youth, I ran little risk now, &c.

Visited Mrs. and Admiral Digby, General Tryon and Mrs. and Miss Leland, Sir Charles Thompson and Mrs. Christie, where I found Colonel

who

spoke to me of his son-in-law, Captain Piquet, who proposed to return to Canada to settle there with his family. Went in the evening to General Carpenter's and General Robertson's, whom I did not find in.

5. Wednesday Thursday]. Had a visit from Sir James Napier, and the Bishop of Oxford, who seems a very sociable and amiable man. Went to the court, which was not very well attended. The Queen spoke to me for a long time and with much kindness. She spoke in high terms of the two Swiss young ladies, whom she had had with the Princesses.

I found Sir George Yonge, who said it had been a long time since we had met. He informed me of the destination of the regiments of dragoons. I told him

le vieux gerl Robertson s'était toujours flatté de recevoir quelque chose seroit bien faché. Il ne me parut pas y faire beaucoup d'attention.

Lady Holdernesse m'invita pour aller donner chés elle Lundy prochain. Je me suis longtemps entretenu avec plusieurs Personnes parricullierem' avec Ma Tryon qui me parla de la maladie de son fière le Ger1 qu'elle ne croit pas dangereuse. Elle me fit ebsuitte l'histoire des amours du Geil Robertson qu'elle blâme et trouve que Madame avait de justes raisons de trouver sa conduitte fort extraordinaire de voir qu'il suivait Me partout comme un jeune homme & passoit des heures entières sous sa fenêtre pour avoir le plaisir de la voir.

Le G1 Christie est party aujourd'huy. Il y avoit Madame de Hall qui etoit une Demoiselle Hollandaise, alliée à la famille de Vanderduin, mais qui ne vit pas avec son mary, qui lui aloue 8 ou 900 pièces par année avec lesquelles elle vit fort à son aise. Elle n'est plus jeuno ny jolie mais elle est aimable, & a eu le bonheur d'etre fort bien introduitte icy, jo suppose par Lady Holdernesse & Sir Joseph York.

Mardy 10.

Le Lt DéChambau du 44 arriva de Quebec & m'apporta des lettres datées du 14 février du Col. Hoppe, Maban & Mathews, qui me donnent une idée de la confusion -qui règne en Canada. Il paroit que Hopp s'est très bien conduit peuthetre par l'influence que Maban a obtenu sur lui le chef de justice s'est demasqué comme un sɔt, & La Dr observe un silence si profond que les meilleurs amis du gouvernement ne savent qu'en pensor & que sachant qu'il avoit demandé Smith pour son chef de justice croyent que tout ce que celui-cy fait est par ordre du gouvernement. Cependant tous les Caradiens voyant l'acte de Quebec en danger se sont réunis à M. Hope, & aux vrais amis du Gouvernem ce qui a amporté la balance. Le Col. Clows, le D. Browne & Déchambault ont diré chés moy, celui-cy nous a fait un récit assés naturel de tout ce qui s'etoit passé en Canada & surtout du silence obstiné de L Dorchester, & le Col. Clows m'a lut une partie d'une lettre de Mr Lingen [Langan] le secrétaire de Sir John Johnson qui lui donno beaucoup d'eloge sur la conduitte qu'il a tenu dans le comitte & le conseil legislatif ou il etoit dans l'oposition, c'est a dire pour rappeller l'acte de Quebec.

Il y a un certain Hogdon [Ogden] homme de Loyx cy devant du Gersé, grand rebelle et fort amy de Smith qui lui a obtenu de l'employ en Canada. Il s'est très mal conduit depuis son arrivée dans ce pays là et s'est declaré le champion du jage Smith. J'espèrer le bien de cette Province qu'ils n'y resteront pas longtemps. Finlay, Greene, Holland, Caldwell, Collins & Smith etoient dans l'oposition.

Mercredy 11.

Je rencontray Lord Sydney qui descendoit de son office. Jo lui fis part des Lettres que j'avois reçu de Quebec. Il me dit qu'il n'avoit jamais eu bonne opinion de Smith mais que La Dorchester l'avoit demandé & s'etoit rendu responsable μTM så conduitte. Il me dit de plus que tout le monde excepté Mazères et une personne qui n'etoit plus dans le pays parloient fort bien de Maben, que La Dorchester quoy qu'il n'en parlasse pas avec autant d'éloge que moy en disant du bien quoy qu'il ne lui croyé pas beaucoup de savoir.

Je rencontray Lord Harrington dans le Parck avec lequel je me promenay long. temps. Il me demanda si je voullois me reposer un moment chés lui, je l'accompa gnay, il me présenta à Mi Lady avec laquelle je causay une demi-heure. Eu me retirant my Lord me demanda si je n'étois pas engagé de dinner chés lui & de revenir à cinq heure. Je m'excusay. J'ay eté bien aise do faire sa conoissance. Dechambault et les Davissons ont diré chés moy. Davisson l'ainé me parut un peu serieux, sans doute à cause de son commerce.

Jeudy 12.

J'allay déjeuner chés Lord Sydney cù je trouvay son fils. Jo leurs fit lire la Jestre du Gencial Hope. My Lord mo dit qu'il n'avoit jamais eu bonne opinion da chef de justice mais que je pourois etre persuadé qu'il ne pouvoit faire aucun tort à Hope, qu'il ne conoissoit personne de qui le Roy eût meilleure opignon. Je lui dis combien il etoit heureux qu'il commandat la Province. Il en convint & peu apprès il ontama d'autres discours surtout sur le Prince Ferdinand le Duc regnant d'aujour

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